Avenue Marcel Sembat (passé, présent, futur)

Je reste fasciné de pouvoir faire des passés, présents, futurs ! A quand les machines à remonter le temps ? Donc là, c'est au bout de l'avenue Marcel Sembat :

Google Maps. Juillet 2012.

26/07/2013

Bientôt... Image provenant de Bizot Architecture.

A noter que la maison au centre fait un peu village gaulois qui résiste à l'envahisseur ou plutôt aux promoteurs !

26/07/2013

Comments

[FJ]

Beau texte, beaux sentiments et belle chanson ! Mais la réalité est un peu autre, même si c'est difficile, c'est comme cela. On peut prévoir des espaces verts et des jardins toutefois, et un rien
de poésie même urbaine ne nuit pas !


Merci.


FJ

[Guimard Eve]

"Là où vivaient des arbres maintenant la ville est là


 Et la maison, les fleurs que j'aimais tant n'existent plus


 Et la maison, où est elle ?


 La maison où j'ai grandi ?


 Je ne sais où est ma maison


 Qui sait où est ma maison ?


 Françoise Hardy (Texte d'une actualité pertinente dans l'Athis d'aujourd'hui !)

[FJ]

La vie, même celle des maisons ou immeubles, est une perpétuelle évolution et rien n'est jamais figé ; il faut pouvoir parfois changer même si ce n'est pas tjs simple.


Un pavillon est-il préférable à un immeuble ? Peut-être plus "humain" en taille et en volume, oui...Même si des "marées pavillonnaires" ne sont pas toujours d'un meilleur effet (cf la banlieue) ?
L'équilibre pourrait être un peu des deux.


A suivre,


FJ

[Lionel]

Au 54 de l'avenue Marcel Sembat, il est un pavillon qui fait résistance, coincé, corseté entre deux résidences.


Qui pour respirer a choisi un gros Tuba, et de vous chanter pour garder son espace ce petit air là:


 


"De grâce, de grâce Monsieur le Promoteur


 


De grâce, de grâce préservez cette Grâce


 


De grâce, de grâce Monsieur le Promoteur


 


Ne coupez pas mes Fleurs ..."   ( "Le Petit Jardin" de J.Dutronc)


 


Malgré cette supplique, je pense que pour ce pavillon ses jours sont désormais comptés. 


Bonne fin de journée ! Salut ! L.G.

[FJ]

Merci ; c'st un excellent exemple de renouvellement urbain (la fameuse ville qui se refait sur la ville) ; les pavillons unifamiliaux des années 30 à 70 font place progressivement à des immeubles
relativement bas qui densifient progressivement le tissu urbain > c'est également un exemple du Grenelle > tous en ville et en immeuble, si possible sans voiture (marche, vélo et bus) :
réalisable ? Pas partout.


A suivre ; c'est très intéressant de voir la transformation de la fameuse "banlieue". De toute façon, il faut plusieurs dizaines d'années pour faire évoluer une ville ou mettre en oeuvre un
projet urbain. Là, à Athis-Mons, on voit les quartiers "se transfigurer" ; qque fois je ne reconnais plus...


Merci.


FJ