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27 décembre 2014 6 27 /12 /décembre /2014 00:00

Attegia, la cité disparue d'Athis-Mons continue à faire parler d'elle. Après Gérard Lecas, auteur athégien bien connu, qui en avait parlé dans un des ses livres, voilà un mystérieux JdeC qui relance l'affaire sur Facebook !?

 

On y retrouve ma longue enquête intitulée Le Tessa Quayle Code ! Oeuvre de fiction dont le mystérieux JdeC me remercie. Si j'en apprends plus sur ce nouvel épisode, je vous en ferai part ! (sourire)

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10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 00:00

Vous connaissez tous Gérard Lecas, auteur athégien de polars et scénariste pour la téloche mais ces derniers temps, il s'est mis aussi à la littérature jeunesse avec le trio FBI, genre club des cinq qui retrouve les animaux disparus. Gérard m'avait contacté peu avant pour son troisième opus de la série. Il cherchait des renseignements sur la mystéreuse Attégia, la cité disparue. J'avais bouclé l'affaire Tessa Quayle après intimidation et censure. Je ne suis pas Dan Brown et le Tessa Quayle code avait disparu justement de ma mémoire. Mais voilà, d'étranges révélations se dissimulent dans Un éléphant qui trompe .
Reprenons depuis le début. Le livre débute par la bio amusante de GL :

 

Gérard Lecas aime le cinéma et la littérature, et par chance, il a réussi à vivre de ces deux

activités. Il a publié plusieurs romans, dont certains ont été portés à l’écran, et en a

traduit d’autres. Il habite une maison au bord d’un grand fleuve d’où il peut regarder passer les péniches… Et juste à côté de chez lui se trouve l’école Saint-Exupéry. Alors si vous lisez ce livre, vous allez tout comprendre.  

 

Ah ! Que, évidemment, le grand fleuve, c'est la Seine. Et tout le monde voit l'école Saint-Ex à Athis. Donc que donc, pas besoin d'être grand clerc pour assimiler Attigny-le-Pont et Athis-Mons aux consonnances étrangement semblables (même si Attigny est au bord d'une falaise !). Où l'on trouve un directeur de zoo appelé Garcia (si, si !), une maîtresse revêche qui peut rappeler Renata M. et où les petits héros vont consulter le catalogue de la médiathèque... Sauf que, y a rien à Attegia le monde souterrain dans le catalogue (ni même dans celui de la Maison de Banlieue).

 

Mais quoi t-est-ce que Attegia ? On trouve de nombreuses reflexions ici :

J'ai mis du temps avant de comprendre qu' Attegia était une ville fictive. Il y a des gens sur le net qui s'amusent à l'inventer à travers des articles farfelus. Ils écrivent en vérité une histoire de science-fiction en la présentant comme la réalité. L'idée me plait et je cherche des personnes à qui cela plait aussi pour continuer ensemble à inventer le mythe...

 

On retombe bien évidemment chez la mystérieuse Tessa Quayle  :

 "Avertissements aux jeunes et aux pouvoirs publics du comté d’Athis-Mons : Les souterrains d’Attegia ne sont pas sans risques" par Pierre Ménard Ingénieur-archéologue et sociologue - spécialiste des mondes souterrains pour la revue "Babelès".

Introduction
A ce jour, aucune étude sérieuse n’a prouvé l’existence de cette fameuse Grande Bibliothèque Troglodyte qui occuperait les 7 derniers niveaux des souterrains d’Attegia. En arpentant pendant des mois les 25 galeries hexagonales patiemment creusées par les « gens du dessous », je n’ai jamais réussi à trouver un seul passage susceptible de m’amener à la Bibliothèque. Aussi, je commence sérieusement à douter de son existence, malgré les innombrables petits indices archéologiques régulièrement mis à jour par les travaux de voirie entrepris par la commune. Cependant, bien que je sois un rationaliste endurci, j’admet que la fascination exercée sur moi par la mythique GBT n’a fait que s’accroître au cours de mes investigations. Ce constat m’a amené à réfléchir l’aspect le plus dangereux de cette affaire :

Et si des jeunes inconscients, parce que trop fascinés par le « monde du dessous », partaient à la recherche de la Grande Bibliothèque Troglodyte sans connaître les dangers que leur réservent les souterrains d’Attegia ?

C’est la raison de cet article.

 

Je dois avouer que dans une autre vie, je connaissais tout comme les petits héros de FBI animaux disparus, une entrée d'Attegia mais un de ses propriétaires en a fermé l'accès par la suite. On peut juste trouver une page web où sont cataloguées les tentatives de mots de passe des insconscients qui se sont heurtés à la porte :

2013-05-24 - 17:55:40 -> 18avril1944
2013-05-24 - 14:00:58 -> `&avril1944
2013-03-07 - 23:12:19 -> 05-11-2011
2011-11-05 - 15:22:32 -> LE SECRET DE FULCANELLI PERDU DANS LES BOMBARDEMENTS DE JUVISY C L

ANTIGRAVITATIONNEL
2011-11-05 - 15:21:41 -> OVNI DU 18 février 1956 à 22:50
2011-11-05 - 15:20:46 -> UN SECRET PERDU DANS LES BOMBARDEMENTS EN QUARANTE QUATRE ET REVENU

SOUS UNTRE FORME LUMINEUSE? DU CIEL LE 18 février 1956 à 22:50
2011-11-05 - 15:19:14 -> QQ CHOSE A 2T2 PERDU EN '' ET R2APPARU LE 18 février 1956 à 22:50?

SUR LES RADARS D4ORLY
2011-11-05 - 15:13:32 -> la clef c'est l'atome et l'antigravitationnel
2011-11-05 - 15:12:54 -> regardez sur wikipédia et vous trouvrerez des infos sur attegia et

fulcanelli
2011-11-05 - 15:12:06 -> LE MAITRE MOT? C4EST LE NUCL2AIRE VIA fulcanelli
2011-11-05 - 15:11:33 -> on trouve trace d'attégia dans l'histoire, en lien avec des secrets

ésotériques dissumulés derrire des cannulars. c'est en lien avec l'eau lurde, le nucléaire,

du moins ces prémisses pendantst la seconde guerre mondiale. cela être récativé

 

J'ai testé celui trouvé par Félix, Bruna et Inés (voir le livre) mais il arrive sur ce début de souterrain avant de renvoyer sur la page d'accueil.

 

Certaines images du site sont rangés dans un répertoire picto. Le répertoire image semble exister mais il est fermé à clé et on tombe sur cette reflexion ironique :

la curiosité est la clée

mais tu t'es trompé de serrure ...

Avec une grosse faute d'othographe ce qui peut laisser à penser que le souterrain est gardé par un cerbère analpha-bête. En tentant images, on tombe sur une autre page d'erreur 404 qui montre que ce n'est pas un répertoire valide :

OUPS 404 ! Je suppose que vous connaissez la chanson ?

 

J'en suis là de mes investigations. Laissant le soin aux personnes naïves et inconscientes d'essayer d'entrer dans la cité d'Attégia. Certaines qui avaient réussi n'en sont jamais revenues...

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17 janvier 2007 3 17 /01 /janvier /2007 00:00

LE DANGER INTERNET:

Certains petits "Mâlins" se sont cru autorisés, par recoupements d'idées exprimées sur le Net, à broder toute une histoire farfelue sur un prétendu groupuscule des "Magiciens" lié à "la communauté Attégia et son "Livre du Grand TOUT" (*) Lamartia", au travers des souterrains d'Athis-Mons (où Pauwels fut instituteur de 1939 à 1945, + enfance de 1930 à 39) dans les années 80'... Après recoupements de sources bien plus assurées, il apparait que tout ceci n'est que pure fumisterie pseudo-romancière... alors qu'initialement (et il existe de même certains sites internet de détournement d'oeuvres littéraires, par de pseudo similitudes retrouvées au fil des pages web feuilletées) Attégia est une idée de plume due pour la période contemporaine à Loup Durand, qui "prêta" occasionnellement son crayon à Paul-Loup Sulitzer. Le danger d'une Oeuvre forte est son détournement, à des fins mercantiles, ou de désinformation (consciente ou non), ... ou même pseudo-religieuses (déjà vu dans les années 60', en Californie, suite au "Matin des Magiciens")!
"Les véritables Sociétés Secrètes sont par définition secrètes" - Bergier.
Et finalement la morale de l'histoire, comme de bien entendu, revient à appliquer le message de Bergier lui-même: vous avez deux yeux et deux oreilles... et bien sachez les utiliser à bon escient !

((*): en référence à Nikita Mandryka, apôtre du non-sens à travers sa série du "Concombre masqué"!).

Source : http://alphonselenormand.monsite.orange.fr/page4.html (Juin 2006)


Louis Pauwels a bien été instituteur à Athis-Mons !

Tout en effet, son éducation, son histoire, ses goûts, rattachent Louis Pauwels au XIXème siècle. Sa mère est ouvrière typographe, d'une famille parisienne depuis plusieurs générations. Un soir d'automne, à la sortie de l'école elle dit à son fils qui venait d'avoir sept ans que son père, le Gustave Bouju dont elle était la femme, n'était pas son vrai père ; que son père était un bourgeois belge, du nom de Pauwels, d'une riche famille gantoise et qu'elle avait naguère épousé. Le déracinement, la trop grande différence sociale avaient rapidement conduit cette union au naufrage. Elle était donc rentrée chez elle, dans ce milieu ouvrier dont elle était issue, et où elle s'était remariée avec Gustave Bouju, ouvrier tailleur. Et c'est ainsi qu'à l'âge de raison, Louis Bouju, dans son tablier noir à boutons rouges, devint Louis Pauwels. Toujours il se reverra sur le chemin de la rue Blomet, écoutant terrifié cette confession : « Longtemps, dire mon nom que j'appris si tard dans l'épouvante fut un tourment. Je déclarais mon identité avec un sentiment de gêne et d'étrangeté. Ce jour-là, tenant ma mère par la main, je fus déraciné et replanté de biais.» Il se retrouvait ainsi, et définitivement, entre deux, entre deux milieux, entre deux cultures, «un hybride, comme il le dira, familial et social», rattachant à ses origines flamandes son appétit de vivre et sa robustesse comme son amour pour les peintres de ce pays. Mais toute sa vie, il resta tourné vers Athis-Mons, vers Juvisy, vers cette banlieue indécise où il avait grandi ; toute sa vie surtout il garda la mémoire de son beau-père, rappelant son souvenir et ses leçons, l'homme qu'il a le plus aimé, le plus admiré. Rendre hommage aujourd'hui à Louis Pauwels c'est d'abord, comme il l'aurait voulu, rendre hommage à Gustave Bouju, ouvrier tailleur, autodidacte, d'origine très modeste. «c'était un mystique romantique, précise Louis Pauwels, un socialiste lyrique, humaniste et visionnaire, disciple de Jaurès et de Hugo. Il a renoncé à enfanter lui-même pour mieux se consacrer à moi. Il fut mon véritable père, celui du cœur et de l'esprit.»

Source : http://www.academie-des-beaux-arts.fr/membres/actuel/libres/Loyrette/discours_hommage_pauwels.htm (1999)

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30 novembre 2006 4 30 /11 /novembre /2006 00:00

LE DÉNOUEMENT (Onzième et dernier épisode)

Il existe aussi (ou existait car je ne sais pas où elle se trouve ?) une autre Vierge dite Notre-Dame de la Jeunesse à Athis-Mons. Il est fort probable qu'elle représente Tessa à l'époque de Notre-Dame de la Jeunesse Éternelle.

Tessa ne vit plus à Athis-Mons comme elle nous l'avait écrit en sabordant ses blogs. Elle a trouvé un havre de paix où les autorités et Attégia ne viennent plus la harceler.
Certains lecteurs penseront comme dans Wikipédia que toute cette affaire n'est qu'"un canular de collégiens". Mais en lisant La Révolution Google de John Battelle, j'ai une autre version bien plus plausible. Le co-fondateur de Wired et fondateur de The Industry Standard finit son enquête sur Google par ce paragraphe :

La vérité, c'est que celle qui se faisait appeler Tessa Quayle chercher l'immortalité à travers ses blogs. Elle existe désormais ad vita aeternam dans l'index de Google...
La pierre philosophale existe aussi et vous êtes plantés devant depuis onze semaines sans même vous en être rendu compte !

FIN

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23 novembre 2006 4 23 /11 /novembre /2006 00:00

LA VIDÉO TRAGIQUE (Dixième épisode)

Au péril de ma vie, j'ai réussi à pénétrer la secte d'Attégia et à m'emparer d'une vidéo de 17 Mo en mpeg :

Il est certain désormais qu'ils ont supprimé Tessa (car j'ai reconnu son cri).

Mais comme je l'ai pressenti, Tessa est une Immortelle et elle a ressuscité dans un endroit plus calme pour oublier toute cette histoire ésotérique. Sur Wikipédia, on trouve la biographie de Fulcanelli, le célèbre alchimiste :
Fulcanelli (1839 ? - ?) est un célèbre et mystérieux alchimiste francais du XXe siècle, dont la légende dit qu'il serait parvenu à réaliser le grand œuvre vers la fin de sa vie, c'est-à-dire à découvrir les secrets de la vie éternelle et de la pierre philosophale (maîtrise de la vie et de la matière) avant de disparaître mystérieusement au début du XXe siècle. Il est l'auteur de deux ouvrages majeurs de la littérature ésotérique sur la symbolique alchimique : Le Mystère des Cathédrales et Les Demeures philosophales.

Or il y est fait allusion à Attégia :
Une confrérie féminine de Juvisy ou Athis-Mons, se réclamant de la principauté antique d'Attegia (cité souterraine qui serait un canular de lycéens), et qui suit l'hypothèse que Fulcanelli aurait été Camille Flammarion (hypothèse qu'avait déjà évoqué F. Courjeaud, voir bibliographie), mort en 1925, est accusée par la fondation de recherche sur les manuscrits 3a (autre groupuscule tout aussi inconnu) d'avoir inventé la rencontre avec Bergier et Fulcanelli.

Tessa possède-t-elle la Pierre Philosophale lui assurant la vie éternelle ? Cela expliquerait bien des choses notamment la présence des hautes sphères de l'état à Athis-Mons et l'acquisition du Coteau des Vignes par la municipalité. On a souvent parlé de l'exhibitionniste des Coteaux or on sait très bien que Tessa aimait à se promener nue (je n'ai malheureusement pas le droit de divulguer ces clichés compromettants). Se cache-t-elle dans le Coteau ? Loge-t-elle dans le mystérieux camping naturiste du Bord de l'Orge ?

Ont-ils pendu Tessa pour la faire parler ? Ont-ils brûlé une mobylette pour transformer le plomb en or ?

A suivre

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16 novembre 2006 4 16 /11 /novembre /2006 00:00

LES HAUTES SPHERES (Neuvième épisode)

On a toujours pensé que le bombardement du Val par les anglais le 18 Avril 1944 était un acte stratégique lié aux voies de communication ferroviaire mais n'y avait-il pas une autre raison ? Sur l'ancien blog de Tessa, il y avait ce fake où l'on voit le général de Gaulle dans l'avenue Jean Jaurès :

N'avait-elle pas découvert quelque chose qu'elle cherchait à nous communiquer en cachette ?
Le maréchal Pétain était venu visiter les ruines d'Athis en 1944 (source INA). Ne venait-il pas s 'assurer de la bonne marche de l'opération tout en déplorant les centaines de morts ? Avait-on détruit sciemment les traces de Tessa ?
Et pourquoi les grands hommes d'état s'intéressent-ils tant à notre petite commune de 30 000 habitants ?

Peu avant sa mort François Mitterrand était passé à Athis-Mons. Depuis la N7 a été rebaptisée à son nom ainsi que l'avenue Robert Schuman, la rue de la médiathèque est devenue Anthonioz de Gaulle.
Quel secret Tessa avait-elle pu découvrir dans ses Légendes athègiennes ?

A suivre

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9 novembre 2006 4 09 /11 /novembre /2006 00:00

LES MIRACLES (Huitième épisode)

En repensant à la Vierge Miraculeuse, je me suis soudain demandé si Tessa n'était pas la troisième Vierge Miraculeuse d'Athis-Mons quand j'ai relu son texte sur les vierges athègiennes. Mon attention s'est portée sur cette courte bio du peintre Camille Lambert :

Camille Lambert est un artiste peintre d'origine belge ayant habité Juvisy de 1919 à 1964, date de sa mort. Sa peinture oscillait entre postimpressionnisme et naturalisme mais était surtout très influencée par les grandes heures du Symbolisme. On lui doit notamment, en 1939, la réalisation de fresques en dans l’église Notre-Dame de Lourdes du val d’Athis-Mons. Ces fresques représentaient les quinze mystères du rosaire. Camille Lambert pris pour modèle les personnalités locales d’Athis-Mons et de Juvisy. Ces fresques furent détruites avec l’église par le bombardement du 18 avril 1944. Il réalisa également des fresques représentant les douze signe zodiacaux pour l’association ésotérique dont il était membre, « The Rosicrucian Fellowship ».


Attégia n'avait-elle pas un rapport avec la Rose-Croix ? J'ai alors entrepris quelques nouvelles recherches sur l'ancienne église Notre-Dame du Val qui se trouvait au bout de l'avenue Jean Jaurès actuelle. Dans les archives secrètes de la Médiathèque d'Athis-Mons concernant le Val, à la page 55, j'ai déniché quelques renseignements sur l'ancienne église :

Et une des fresques du peintre rosicrucien représentant la Vierge Marie bénie entre toutes les femmes. On aperçoit à sa droite, une jeune fille qui pourrait bien être la grand-mère de Tessa puisque le peintre utilisait des modèles locaux :

Voici un cliché récupéré chez un mystérieux correspondant proche d'Attégia, de la Vierge de la Voie qui a survécu aux bombardements.

J'ai tout à coup eu une illumination. Non, Tessa n'était plus vierge, c'était, c'est une Immortelle... Et la personne à droite de la Vierge, c'est Tessa elle-même au début du siècle.

A suivre

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2 novembre 2006 4 02 /11 /novembre /2006 00:00

LE MYSTÈRE (Septième épisode)

Mon enquête piétine lamentablement. J'ai eu au téléphone le mystérieux commanditaire mais il n'y est visiblement pour rien. La Maison de Banlieue ne m'a pas renseigné non plus sur les Légendes Urbaines se dissimulant derrière une exposition d'Auguste Perret beaucoup plus anodine et un film sur la N7. Je crains surtout que personne ne veuille parler. Il y a des puissances occultes dissuasives derrière tout cela.
Il ne me reste plus qu'à prier devant la Vierge Miraculeuse.

J'avais déjà un grand dossier sur cette fameuse histoire. Que pourrait-elle m'apprendre ? Mr Debord, le propriétaire du Clos Dagobert s'entretenait avec les "Invisibles", peut-être était-ce déjà les membres d'Attégia ? Les autorités ecclésiastiques en 1950 n'avait pas cru un traître mot de ses messages mediumniques.
Mais je pense que je m'éloigne du sujet. 

J'ai fait des recherches infructueuses à l'actuelle Médiathèque d'Athis-Mons.
Lu dans la
Base Mémoire ceci :

La maison figure sur le cadastre de 1815. Propriété de la famille de Courcel qui y installe une maternité en 1933, elle est louée à partir de 1939 à l'inspection générale de l'administration en mission extraordinaire pour la 1ère région (caserne de Noailles à Versailles) puis, acquise par la ville en 1957, elle sert de commissariat de police jusqu'en 1990. Elle est ensuite transformée en médiathèque.
Que pourrais-je trouver sur la piste des Courcel (certains prétendent, ai-je entendu dans le car, que ce serait la famille de Bernadette, la femme du président actuel) ? L'histoire du bâtiment me fait penser à celle de Monster.
Kenzo Tenma, est un jeune chirurgien japonais aux talents prometteurs en poste à Dusseldorf, en Allemagne. L'histoire commence le jour où il désobéit à son supérieur et sauve la vie d'un enfant plutôt que celle du maire de la ville. Autour de lui le vide se fait, il perd tout… Mais qui est ce mystérieux enfant qui élimine tous ceux qu'il approche ?
Est-ce un Johann local qui a éliminé Tessa ? Il faudrait trouver des personnes ayant été élevées dans cette maternité. Que sont-elles devenues ?

J'ai aussi retrouvé des traces de ce qu'il y avait dans l'ancien commissariat notamment cette fresque :

On raconte aussi l'histoire d'un escalier...dérobé.
C'est donc un lieu très mystérieux mais je n'ai eu aucune preuve que Tessa y a mis les pieds.

A suivre

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26 octobre 2006 4 26 /10 /octobre /2006 00:00

LE MANUSCRIT (Sixième épisode)

Bien entendu, en faisant une recherche sur Google, vous avez tous compris que Tessa Quayle est un pseudonyme. Ce nom est celui d'un personnage de La Constance du Jardinier de John Le Carré adaptée au cinéma par Feirnando Meirelles. Dont voici le résumé :
Tessa Quayle, jeune et belle avocate anglaise, a été sauvagement assassinée dans le nord du Kenya. Son compagnon et amant supposé, médecin africain d'une organisation humanitaire, a disparu. Justin, l'époux de Tessa, diplomate de carrière au haut-commissariat britannique de Nairobi et jardinier amateur, se lance dans une quête solitaire à la recherche des tueurs et de leur mobile. Sa quête l'entraîne à Londres puis à travers l'Europe et au Canada, pour le ramener en Afrique jusqu'au Sud-Soudan et se terminer sur les lieux même du crime. Une odyssée pleine de violence et de fureur où se trament les sombres machinations de multinationales pharmaceutiques, où se nouent d'étranges alliances politiques.

La véritable identité de Tessa est donc bien difficile à établir. Les autorités locales l'ayant vraisemblalement poussée à l'exil (l'hypothèse du meurtre sauvage romanesque est à rejeter), il est fort probable que nous ne puissions la retrouver.
Mais il est vital de comprendre les recherches qu'elle avait entreprises.
A l'instar du Manuscrit vs 408 Voynic, il existe un parchemin mystérieux des villages d'Attiis et de Montium :

Le traité d'Athis sur Orge possède des propriétés inconnues qui, s'il ne tue pas le lecteur qui découvre l'ultime vérité en le lisant, le pousse irrémédiablement dans des recherches compulsives sur Attégia.
 
Une piste intéressante est celle d'un commanditaire souvent présent dans les parages de celle qui se faisait appeler Tessa. Sur ce cliché jauni anonyme, on entraperçoit un homme dont la particularité est d'avoir un large front. Lui seul peut résoudre l'Énigme.

A suivre.

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19 octobre 2006 4 19 /10 /octobre /2006 00:00

LE COTEAU DES VIGNES (Cinquième épisode)

Dans les documents du blog de Tessa on trouve ce passage
E
n 1988, une dizaine d’habitants d’Athis-Mons (Essonne) affirmèrent ouvertement vouloir « intégrer la fraternité Attegia » persuadés qu’une communauté vivait depuis des siècles dans les souterrains de la ville. Ils investirent le Coteau des Vignes (un bois de la ville) à la recherche des entrées comblées par les gravats de la mystérieuse Attegia, établissant leur campement au milieu du bois.
On en apprend un peu plus sur cet endroit ici. Tessa s'était savamment documentée.

Il existe effectivement de mystérieuses ruines dans ce petit bois miraculeusement sauvegardé. Dissimulent-elles l'entrée des souterrains menant à Attégia ?
Et pourquoi la municipalité tenait-elle tant à sauvegarder cet endroit s'il ne cachait de mystérieuses puissances occultes ?

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