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5 août 2016 5 05 /08 /août /2016 08:42

La MdBA propose son "Cahier" lié à sa dernière exposition sur les commerces en Essonne.  Je vous en offre le début notamment le chapitre intéressant sur les enseignes des Portes de l'Essonne. Pour l'acheter en entier, c'est ici.

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10 juillet 2016 7 10 /07 /juillet /2016 09:53

Mais qui est cette Mia Leksson ? Est-ce la dernière Camilla Lackberg à la mode ? Quel rapport avec Athis-Mons ? Que me dit Google ?

Mia Leksson est le pseudonyme de deux auteurs : Michaëla Watteaux, réalisatrice et scénariste née à Stockholm et Gérard Lecas, qui a publié plusieurs romans policiers dans de grandes maisons d'édition.

Ah ! Cela se précise, Gérard Lecas, c'est notre écrivain scénariste athégien ! Et cette Michaëla ? Ah ! C'est sa collègue réalisatrice-scénariste qui a même tourné des épisodes de Plus belle la vie ...

Pourquoi Sybille, 14 ans, s’est-elle jetée du huitième étage ? Qui harcelait l’adolescente ? C’est la question qui hante Léo, son frère, brillant étudiant en informatique. Obsédé par la recherche de la vérité, Léo abandonne peu à peu tout ce qui faisait sa vie d’avant et glisse dans la marginalité. Lorsque des photos dénudées de la fille du juge Vandermeck se retrouvent sur FunBox, un réseau social très en vogue qui garantit l’absolue sécurité des documents mis en ligne, Léo découvre que Sybille, elle aussi, utilisait FunBox… une société en pleine expansion dirigée par Rebecca Fersen, une jeune entrepreneur talentueuse. Pendant ce temps, Jasmine, quinze ans, prend sans le savoir le même chemin que Sybille. Sur FunBox, elle fait la connaissance de Ludovic, un garçon de dix-sept ans. A son insu, elle met le doigt dans l'engrenage qui va la broyer. C’est la commissaire Lavelli, obsédée par les disparitions d’enfants, qui est chargée de l’enquête. Quel est le lien entre les jeunes filles sacrifiées et les affaires vénéneuses du mystérieux groupe Spinoza ? Un piège mortel dans lequel s'engouffrent Léo et Rebecca. Deux destins croisés, deux personnages qu'a priori tout devrait opposer. Ils vont, ensemble, découvrir que FunBox abrite une machine infernale où se croisent toutes sortes de réseaux, des pédophiles aux mafias les plus occultes.

Donc, ils ont écrit un bouquin ensemble. Un thriller sur les réseaux sociaux. FunBox, ça ne serait pas un peu FaceBook ? (sourire).
Bon, un jour, j'ai reçu un mail de la femme du co-auteur. Si, si ! C'est Renata du Jardin Jovet. M'intimant l'ordre d'acheter le livre numérique sur Amazon. Parait que les com's sont très bons. Sauf que je n'ai pas de Kindle.
Me voilà forcé d'acheter l'ebook sur la FNAC.com (4€99) et le télécharger sur ma NOLIM. Qu'en dire ? Imaginez un Millenium à la française aussi bon que le dernier Musso (La fille de Brooklyn) avec tous les personnages de Plus belle la vie dans un univers parisien et banlieusard. Autant dire que c'est un page turner comme on dit dans les milieux non littéraires.
Je découvre qu'il faut 1000 achats pour que l'ebook sorte en version papier. Alors filez sur les librairies en ligne :

Si vous avez une Kobo, c'est par ici !
Si vous avez une Kindle, c'est par  !

Espérons qu'il y ait une suite aux aventures de Léo et Rebecca !

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26 janvier 2016 2 26 /01 /janvier /2016 08:00


Le parisien.fr.

On peut en lire un très court extrait sur le site d'Edilivre (recopier le lien dans la barre d'adresse) :

http://www.edilivre.com/athis-mons-et-nous-approches-d-une-ville-et-ses-ha-23289bf538.html

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 00:59

Dans la biographie de Camille Flammarion par Philippe de La Cotardière et Patrick Fuentes consultable à la médiathèque, on trouve quelques photos du parc de l'Observatoire plus ou moins intéressantes :

Sylvie, Camille et Gabrielle.
 

Camille et Gabrielle devant le pavillon du Parc de Juvisy
 

Les obsèques de Camille dans le Parc de Juvsy

Scanné celles-ci ici !

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 00:21

Le dernier Cahier de la MdBA s'intitule Le grand pari des pt'tites maisons (Histoire et projets des pavillonnaires en Essonne), tout un programme !... Il est possible de l'acheter à la Maison de la Banlieue (quand elle est ouverte) ou le commander en ligne. On peut aussi l'emprunter dans le réseau des médiathèques ; enfin, pas tout de suite car c'est moi qui l'ai... :-)

Je vous en offre un extrait (ceux sur Savigny et Paris-Jardins de Draveil) :

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 00:03

La MdBa a sorti récemment un Cahier n°21 consacré aux étrangers dans le peuplement (sic). Il est consultable à la Maison de Banlieue où on peut aussi l'acheter. Il est possible de l'acheter en ligne sur le blog de la MdBA. On peut aussi le trouver et l'emprunter dans le Réseau des Médiathèques.

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15 janvier 2015 4 15 /01 /janvier /2015 00:00

 

Athis-Mons et nous

Prévente d'un livre sur les approches d'une ville et ses habitants.

Le sujet: dans une ville de banlieue sud de Paris (Athis-Mons), des photos d'habitants, de salariés, retraités, bénévoles, sportifs, élus, devant leur lieu d'activité, d'habitation, de travail ou d'exercice de mandat; lieux remarquables pour leur particularité architecturale ou graphique; des interviews ponctuent le travail, les gens expliquent ce qu'est le lieu, ce qui s'y fait, comment et pourquoi ils sont là.

http://fr.ulule.com/athismons-etnous/

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14 janvier 2015 3 14 /01 /janvier /2015 00:00

Margaux D. m'a permis de mettre son mémoire en ligne sur Issuu.

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10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 00:00

La Comtesse de Bruges est un roman de Jules Noriac dont vous trouverez une version originale sur Amazon à 123€ !

 

Désolé ! A ce prix-là, je me contenterai de la version virtuelle de Gallica pour vous montrer les trois passages où la ville d'Athis-Mons est citée !

 

 

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11 août 2014 1 11 /08 /août /2014 00:00
La Réforme sociale / publiée par un groupe d'économistes avec le concours de la Société d'économie sociale, de la Société bibliographique, des Unions de la paix sociale, et sous le patronage de M. F. Le Play ; rédacteur en chef : M. Edmond Demolins. 1895/1907
On y trouve un passage intéressant sur le Cottage d'Athis :
Une demi-heure de trajet à peu près et les cinquante ou soixante excursionnistes descendaient à la gare d'Athis située dans une plaine riante au pied des coteaux verdoyants où s'élèvent les grands et beaux arbres du parc séculaire de M. le baron de Courcel.
Sous la conduite de M. Bouteloup, président du conseil d'administration du « Cottage d'Athis », nous nous rendons au cottage distant d'environ un kilomètre de la gare. Là, M. Bouteloup se place au centre du cercle que nous formons — semblables aux péripatéticiens antiques — et nous donne quelques explications sur la Société qu'il préside. La Société a pour objet de construire,dans les communes d'Athis et de Juvisy et les communes environnantes de Seine-et-Oise, des maisons salubres spécialement disposées pour servir de logement à des employés et ouvriers attachés à la Compagnie du chemin de fer d'Orléans, et de faciliter à ses membres l'acquisition de leur maison.
(...)
Le prix de revient de nos maisons, y compris les jardins, clôtures, etc., varie entre 3,900 et 7,400 francs et le loyer depuis 160 francs jusqu'à 320 francs,plus 1 % de frais généraux et d'administration. Si les frais généraux et d'administration ne sont pas employés pendant l'exercice,
le reliquat en est réparti,au marc le franc du loyer, entre tous les locataires et acquéreurs qui n'ont pas entièrement libéré le prix de leur maison, ce qui, en intéressant ces derniers, nous évitera, nous en sommes certains, bien des réparations locatives. Nous ajouterons que, depuis que nos maisons sont habitées et malgré le rude hiver que nous venons de passer, pas une maladie sérieuse ne n'est déclarée au cottage. Une épidémie de variole a sévi à Athis et dans les environs, cette épidémie a épargné les enfants de nos locataires ou du moins ne s'est manifestée que d'une façon très bénigne, ce qui est la meilleure preuve que nous avons construit des maisons salubres.
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