SuperPlak, le défenseur masqué des plaques opprimées le leur avait pourtant signalé à ces cons de Carrouf, Jean-Pierre Bénard s'écrit B.É.N.A.R.D :
Mais non, ils ont changé les plaques en récidivant... Ce que l'on nomme les erreurs persistantes !
Jean-Pierre Bénard (1820-1902), « bienfaiteur de la commune ». À sa mort en 1902, il laissa par testament à la commune d’Athis-Mons sa fortune pour créer un hospice municipal, qui devra être tenu par un personnel exclusivement laïque. L’héritière de Jean-Pierre Bénard contesta cette clause en voulant confier l’hospice à des Soeurs (entre 1902 et 1912, la France est en pleine querelle religieuse). Le 10 novembre 1903, la commune entra en possession du legs par l’ordonnance du tribunal civil de première instance de Corbeil. Jusqu’aux années 1960, cet hospice Jean-Pierre-Bénard (qui ne pouvait recevoir que quatorze personnes) était le seul lieu d’accueil pour les personnes âgées de la commune.