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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 00:00

Plus besoin de bombes du 1944 pour raser le paysage en 2013, les promoteurs s'en chargent très bien aujourd'hui. C'est le show de la vie et les gens qui habiteront rue de l'Epinette ou Jules Simon d'Orléans seront sûrement contents d'avoir un appart en ces temps difficiles mais pour DK et moi, nous voyons le bâtiment de notre enfance disparaître et recouvert par une autre réalité.

Rue de l'Epinette 2008

 


Rue de l'Epinette 2013

 


Rue Jules Simon. 2008


Rue d'Orléans. 2013

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commentaires

E
<br /> Pour Chateaubriand "La nostalgie est le regret du pays natal et de l'enfance", il me semble à vous lire que c'est encore bien exact. Athégienne de naissance je suis de ces nostalgiques là, le<br /> vieux pays est dans mon coeur...  je me sens étrangère chez moi... Adieu "Le Narval" café donnant rue d'Orléans (et non rue J.Simon) et rue du 18 avril, bonjour immeuble moderne construit "à<br /> la va-vite"...<br />
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B
<br /> Dans cent ans pourrai-je en faire des passé/présent !!! Une chose me chagrine , j'opterai pour la rue d'Orléans <br />
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G
<br /> Et est-ce plus beau qu'avant ? Moi, je n'ai connu que Athis/Juvisy de "jadis" !<br />
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F
<br /> Il est vrai que cela change ! Nostalgie ? Ce n'est plus le même paysage urbain en effet. Athis-Mons s'est vraiment transformée : j'en suis à chaque fois assez étonné.<br /> <br /> <br /> Merci.<br /> <br /> <br /> FJ<br />
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