Plus besoin de bombes du 1944 pour raser le paysage en 2013, les promoteurs s'en chargent très bien aujourd'hui. C'est le show de la vie et les gens qui habiteront rue de l'Epinette ou Jules Simon d'Orléans seront sûrement contents d'avoir un appart en ces temps difficiles mais pour DK et moi, nous voyons le bâtiment de notre enfance disparaître et recouvert par une autre réalité.
Rue de l'Epinette 2008