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Où l'on cause de l'UCPR : Plutôt que de renforcer les effectifs d’enseignants pour permettre à l’école de mieux prendre en compte les élèves en difficulté, les « projets de réussite éducative » lancés par le ministre de la Cohésion sociale, Jean-Louis Borloo, confient cette mission à la Ville. Une contradiction avec l’objectif égalitaire affiché par le gouvernement. Comment tu dis, en anglais, "Fais-tu le ramadan ?" », demande Marie à Mohamed. Marie, intervenante de l’association Une chance pour réussir, fait travailler son cours d’anglais à cet élève de sixième. À ses côtés, Nour révise sa leçon d’histoire sur la bible hébraïque, pendant que sa voisine peine à déchiffrer la fable de La Fontaine le Corbeau et le renard. Dans une autre salle, Dounies sanglote. Elle n’arrive pas à écrire en suivant les lignes de son cahier. « C’est pas grave. Tu dois être fatiguée. On va aller jouer maintenant », la réconforte une autre intervenante. Deux fois par semaine, 220 enfants de la commune d’Athis-Mons (Essonne) se rendent ainsi après l’école, par groupe de trois à cinq, dans l’un des sept lieux dont dispose l’association. Ils y retrouvent les étudiants qui, pendant une heure, les aident dans leurs devoirs et les accompagnent dans les temps de jeu. Créée en 1989, l’association Une chance pour réussir a intégré depuis quelques mois le projet de réussite éducative (PRE) de la ville d’Athis-Mons. Un plan mis sur pied par le ministre de l’Emploi, Jean-Louis Borloo, dans le cadre de sa loi de cohésion sociale, et dont le budget global devrait s’élever à 1,4 million d’euros sur cinq ans et financer quelque 750 projets. Sur le papier, le dispositif est défini de façon assez vague comme « un soutien individualisé aux jeunes en fragilité, en prenant en compte la globalité de leurs difficultés scolaires, sanitaires et sociales ». Sur le terrain, il devrait réunir acteurs associatifs, élus, éducateurs, directeurs d’école, centres de loisirs et centres sociaux, assistantes sociales, etc. Aujourd’hui, à Athis-Mons comme dans les 184 communes déjà sélectionnées, le projet de réussite éducative en est au stade du démarrage. Il y a quelques mois, la mairie PS de la ville a recruté Loubna Benhorma, la directrice chargée de le mener à bien, avec 500000 euros de financement. « On a les moyens de mettre en place des choses innovantes, avec souplesse. Avec le PRE, on part d’un diagnostic et de besoins, et on met en place des actions. On s’adapte au public, et pas l’inverse. » À Athis-Mons, plusieurs projets sont en voie d’élaboration. L’accompagnement scolaire en tête. Loubna Benhorma est ainsi en train de mettre sur pied trois « cellules de repérage ». Chacune sera gérée par un référent. Lien entre l’institution et la famille de l’élève, il sera chargé de mettre en application un parcours individuel élaboré par les partenaires. « Cela peut prendre la forme d’un accompagnement à la scolarité, de séances d’orthophonie, de rendez-vous avec l’assistante sociale ou avec un animateur du service jeunesse. On est dans la collaboration », complète Loubna Benhorma. Du côté des associations, on joue la prudence. Si les PRE permettent une communication mieux huilée entre les différents acteurs sur le terrain, ils ne viennent que consolider un réseau que les associations oeuvrent à tisser depuis des années, et des actions dont elles ne veulent pas être dépossédées. « Nous avons toujours travaillé avec les animateurs, les assistantes sociales, les enseignants... Que va apporter le PRE ? Difficile à dire. Après avoir vu s’enchaîner les dispositifs, contrats éducatifs locaux, contrats locaux d’accompagnement à la scolarité, veille éducative, on peut aussi s’interroger sur la pérennité de ce nouveau plan », souligne la trésorière et fondatrice de l’association Une chance pour réussir, Liliane Wangermée, qui ne sait pas encore à combien va s’élever l’enveloppe que l’association recevra pour mettre en place son PRE. Anne-Claire Gras
Dossier dans Politis :
La suite ici
Nous avons enfin retrouvé le gazeur de chiens à Rouen :
En 1996-1997, je vivais une partie du temps chez ma petite amie qui habitait Athis-Mons. Le coin était infesté de chiens hystériques et je ne pouvais remonter sa rue sans déclencher une tempête d'aboiements. J'avais trouvé la parade en achetant une bombe lacrymogène de défense personnelle, et en leur collant un bon jet dans leurs gueules ouvertes. Résultat garanti. Lorsque je passais après dans la rue, les chiens aboyaient toujours, mais le vacarme était déjà moins assourdissant du fait qu'ils prenaient tous soin de se tenir à distance du portail de leurs maisons.
Dorian Wybot
Un tremblement de terre d'amplitude 2,22 sur l'échelle de Pauvreterre a détruit l'ancienne boulangerie des FFF. Heureusement, nous ne déplorons aucune victime .
Actuellement, le zoo est devenu un parc animalier :
Nous tenons à signaler à ceux qui douteraient qu'il y eût bien eu un zoo à Athis :
Vous remarquerez aussi sur ce plan, la discothèque et je n'en crois pas mes yeux, la base de loisirs !!
Vous en apprendrez plus chez El Fronto.